Qui suis-je

Une enfance sauvage, les racines de ma liberté

Je m’appelle Romain Verdure, j’ai 30 ans et je viens de Haute-Savoie.
Depuis aussi loin que je me souvienne, j’ai grandi dehors. La forêt était mon terrain de jeu, les arbres mes compagnons d’aventure. Je passais mes journées à construire des cabanes, à grimper, à tomber, à me relever, à me dépasser sans m’en rendre compte. J’ai chaussé mes premiers skis à l’âge de deux ans, et très vite, les montagnes sont devenues une évidence.

J’étais un enfant plutôt discret, introverti, souvent dans ma bulle. Ce que je cherchais, je le trouvais dans le silence de la nature, loin du bruit des autres.
Bien que bon élève, l’école ne m’a jamais inspiré. Le chemin “tout tracé” que l’on me proposait me faisait peur — je ne m’y retrouvais pas, je n’en comprenais ni le sens, ni l’appel.

Alors, à l’adolescence, pendant que beaucoup sortaient faire la fête, moi je partais en montagne. Je courais, je grimpais, j’explorais chaque sentier, chaque recoin sauvage. C’est dans cette quête de solitude et de sensations fortes que j’ai commencé à me construire.

Peu à peu, en vivant des instants forts, vrais, souvent seuls face à l’immensité, j’ai gagné cette confiance en moi qui me manquait. Et c’est là, quelque part entre deux sommets, que j’ai compris : ma vie serait faite d’altitude, de liberté et d’aventure.

Pour partager ces moments uniques avec mes proches, j’ai commencé à prendre des photos, à filmer. Sans prétention, juste pour transmettre ce que je voyais, ce que je vivais. Avec le temps, l’image est devenue mon langage.

A l’heure d’aujourd’hui j’ai encore du mal à exposer mes aventures sur les réseaux, dans ce monde où tout semble calibré pour plaire, où l’authentique se perd au profit du paraître.
Moi, je préfère rester fidèle à ce que je suis : simple, vrai, et profondément connecté à la nature

Trouver ma voie, contre les évidences

Malgré mon caractère introverti, un métier m’a toujours attiré : moniteur de ski.
L’idée de vivre dehors, de transmettre ma passion pour la glisse et les valeurs de la montagne m’animait profondément. Travailler en pleine nature, partager des émotions fortes, guider les autres dans cet univers qui m’avait tant construit… C’était plus qu’un métier, c’était un rêve.

Mais pour devenir moniteur, le chemin est exigeant. Il faut passer des tests très sélectifs, basés sur le ski de compétition — un monde que j’avais toujours refusé. Plus jeune, j’avais choisi de ne pas entrer dans cette logique de performance, car les valeurs de la compétition ne résonnaient pas avec les miennes.
Beaucoup pensaient donc que je n’y arriverais jamais. On me disait que c’était “trop tard”, que je n’avais “pas le niveau”, que c’était “réservé aux enfant de club”.

Mais moi, j’y croyais. Et j’ai décidé de tenter ma chance.
J’ai mis fin à mes études, et je suis parti me former au sein de l’UCPA. Là-bas, j’ai pu m’entraîner intensivement, jour après jour, dans toutes les conditions. J’ai appris vite. Je me suis accroché. Je n’ai rien lâché.

Au bout de seulement quatre saisons, je suis devenu diplômé. Là où d’anciens compétiteurs échouaient , j’étais allé au bout, simplement parce que j’y croyais.
Cette réussite a été un déclic. Elle m’a appris une chose essentielle : quand on s’écoute vraiment, qu’on suit son instinct, on finit toujours par trouver sa place.
Et surtout : si l’on croit profondément en ses rêves, alors rien n’est impossible.

Vivre autrement

Penser et vivre autrement m’a toujours donné ce sentiment d’être à part. Et je le suis.
Depuis l’enfance, j’ai ressenti ce décalage profond avec ceux de mon âge , dans mes envies, dans mes valeurs, dans mon rapport au monde. Là où beaucoup cherchaient à s’intégrer, moi je cherchais à me comprendre, à m’accomplir. Ce besoin de reconnaissance, à la fois des autres et de moi-même, est devenu une boussole intérieure. Chaque jour, je me lève avec l’envie de devenir une version meilleure de moi-même.

Tout m’intéresse, tout me fascine.
Je peux passer de la photo à la cuisine, du sport au bricolage, de l’écriture au montage vidéo. Je suis curieux de tout.
Mais derrière cette soif de découverte, il y a surtout un besoin plus profond : me dépasser, repousser mes limites, m’approcher, par l’effort, de ce sentiment d’accomplissement total.

J’ai des rêves fous. Peut-être trop pour un seul homme.
Des rêves qui semblent parfois inaccessibles, car ils exigent excellence, engagement, et polyvalence.
Mais je suis passionné. Et maintenant j’ai compris que tout est possible.

Certain de ces rêves sont démesurées , mais ils sont ancrés dans une volonté simple : vivre une vie sans limites.

Alors si je dois skier au Groenland, gravir les plus hauts sommets, explorer l’Antartique alors je le ferais. Et même si à coter je dois contruire ma maison lancé une marque de vêtement et écrire dix romans.  Car la vie n’atemps pas et chaque instant dois être saisie  Aujourd’hui, je comprends pourquoi l’école ne m’attirait pas. On voulait m’imposer un moule, un chemin tout tracé.
Moi, j’ai choisi de vivre en dehors des cadres.
J’ai choisi une vie qui ne me limite pas.
Et je continuerai d’avancer, un rêve à la fois.

Partager l’instant, raconter l’aventure

Immortaliser un instant, c’est une manière de fixer l’émotion brute que je ressens sur le moment. Ce frisson face à la lumière parfaite, cette ligne de crête au lever du jour, ce silence suspendu dans une vallée perdue… Je ne peux pas les garder pour moi.

Très tôt, la photographie et la vidéo sont devenues un moyen d’expression naturel. Et rapidement, le drone est devenu mon allié de prédilection. Je l’emmène partout. Je le maîtrise parfaitement. Et grâce à lui, j’offre une perspective différente : plus immersive, plus libre, plus vivante.

Au fil des années, à force d’arpenter les Alpes et d’autres territoires sauvages, j’ai affiné mes compétences en prise de vue extérieure. Aujourd’hui, je me retrouve avec des images fortes, qui racontent une histoire. C’est pour cela que ce site existe. Et que j’ai lancé une chaîne YouTube : pour partager ces moments rares, sincères, et les rêves que je réalise peu à peu.

Même si je manque parfois de temps pour tout alimenter, j’ai décidé de m’y tenir. Parce que ce serait égoïste de garder toutes ces beautés pour moi seul.

  • La chaîne YouTube sera dédiée à mes films et documentaires.

  • Ce site web et mon compte Instagram seront les vitrines de mes plus belles photos.

  • J’ai également ouvert une boutique, où certains de mes clichés sont disponibles à la vente.
    Cela me permet de financer mes projets sans avoir à demander — en offrant en retour un cadre, une image, un rêve figé.

Mais au-delà de tout ça, il y a un projet qui me tient particulièrement à cœur.

Avec mon cousin et ami d’enfance, Ludo, nous avons fondé IMPACT : une entreprise aux deux visages.
D’un côté, une marque de vêtements de montagne, techniques, durables et porteurs de sens.
De l’autre, une société de production vidéo, tournée vers les sports outdoor, les expéditions, et la quête de dépassement de soi.

 

Cela fait dix ans que je mûris cette idée. Avec IMPACT, notre objectif est clair :
mettre en lumière ceux qui poursuivent leurs rêves, tout en développant les nôtres.
À terme, IMPACT nous permettra de produire nos propres projets, de concevoir les prototypes d’équipements que j’ai en tête depuis longtemps, et de créer notre propre écosystème — libre, engagé, et fidèle à nos valeurs.